C’est lorsqu’on se libère
Des plaisirs de la chair,
Qu’on sait que c’est l’hiver,
D’un presqu’octogénaire.
Longtemps on persévère,
Comme on le faisait hier,
Mais on se sent peu fier,
D’être célibataire.
Il ne faut pas moisir,
Quand manque de désir,
Par ces vicissitudes.
On accepte le sort,
Qui sonne un des préludes,
Qu’on s’approche du port.
Christian Cally
30 Octobre 2005
Copyright C.Cally 2005