Manque…
J’aimerais tant te serrer dans mes bras,
Mais non tu n’es plus là, partie trop tôt,
Je voudrais tant t’enlacer dans ces draps,
Au lieu de sentir ce froid dans mon dos.
Tu manques à mon appel et à ma peau,
Tu me manques trop et c’est sans appel,
Je ne veux plus me réveiller dingo,
Seul dans notre lit du vide à la pelle.
Je tourne au tragique et je me révèle,
Ridicule et puéril en ce combat,
Je vais te rejoindre où tu es ma belle…
…Tout simplement au petit dèj’ en bas.
François Ville
Le 01 août 2005