Douce harmonie, symbiose éphémère
Des regards échangés, source limpide
Des sentiments qui se veulent berbères
Nobles, exempts de trahison putride.
Douce transhumance de l'inconnu
Vers la connaissance de l'autre, intime
Puis intimement partagée, comme promue
A des révélations que des baisers impriment.
Douce découverte des corps, encore mystérieux
Pudiques, prometteurs, voilés
De la peur de déplaire, de choquer, envieux
D'une extase partagée, sublimée.
Doux romantisme. Coriace, fièvre virale
Tu colles à nos peaux et inhibes nos envies.
Saurons-nous jeter au large , ce carcan ancestral
Que seul amour, des sens ouvre le paradis.
Jeunes femmes riront du fond, elles auront raison, mais au fond d'elles mêmes,douce nostalgie, peut être auront?