Ton âme reste une fleur.
Quand tu liras ces lignes tu comprendras sans doute
Ce coeur adolescent qui marchait sur la route
Que le mal d'amour qui rend gauche et tremblant
N'appartient pas seulement à ces petits enfants.
Elle prenait foi en toi, mais ton virus aidant
Un sourire parsemé ton sourire éclatant
La lune hantait les dunes, un ciel plein de tourment
Au port des illusions je te croyais amant
Tu lissais mes cheveux en parlant lentement
Ton âme était une fleur dont j'étais amoureuse
Ton coeur était en moi, j'en étais prisonnière
Tu serrais ta bécane, comme une jeune première.
Un coeur de dix sept ans, tu n'as pas su comprendre
La vitesse règnait, elle était toute ta vie
Et des larmes amères sont venues m'apprendre
Votre petit ami, s'est tué, il à rendu la vie
Toutes ces années passées, m'ont aidées à saisir
Que même tous les trésors ne pouvaient te ravir
Elle était bien plus proche, que toutes les filles
Cette putain de machine qui t'a conduite au ciel.
Marie-France