Pardonne-moi Natacha. Ce poème est superbe. Je ne crains pas la foudre, ni la tornade, non plus le vent d'hiver, ni les brumes épaisses, moins encore le froid oubli dans la lande déserte. Tu n'es pas seule, lève la tête, tout bouge, tout vit, rien ne se perd. Nul ne l'est pour peu qu'il ait conscience d'être et ne pas, comme Shakespeare, supposer ne pas être.