Dans le bruit du ressac.

Comme les vagues s'échouant sur la grêve,
emportant nos mots en un rêve,
qui dans nos illusions s'élèvent.

Je n'ai pas oublié ce jour,
teintés de promesses de velours,
main dans la main pour toujours.

La saison s'est enfuit entraîné par la betise,
envolé à jamais nos songes, quoiqu'on en dise,
soufflé par une malvaillante brise.

Alorss comme ces vagues emportant,
la lune brillera encore au firmament,
elle apaisera nos êtres s'endormant.

Comme les vagues s'échouant sur la grêve,
emportant nos mots, en un rêve,
souvenir du temps qui s'achève...
L.A 08.01.08

"Comme les vagues s'échouant sur la grêve,
emportant nos mots, en un rêve,
souvenir du temps qui s'achève... "

J'aime beaucoup cette fin imagée, évocatrice...

Amitiés,
Natacha

Tu écris si bien avec tes mots du coeur,

Bisous, Joahna

Marie

merci Natacha et Marie d'aimer ce que je fais.

ce poème est très beau! Très musical, rythmé. Ces rimes uniques par strophe donne cette envolée!
De plus les rimes de la première strophe reprises sur la dernière donnent encore une résonnance particulière, très émotive.
j'aime beaucoup, beaucoup.
bien amicalement
denise

merci Denise d'aimer mes lignes.